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Vers une dépendance à l’IA ?
Autonomie humaine, perte de savoir-faire et transformation des rapports sociaux en Afrique :
Autonomie humaine, perte de savoir-faire et transformation des rapports sociaux en Afrique : Dans quelle mesure le développement rapide de l’intelligence artificielle risque-t-il de créer une dépendance des individus et des sociétés africaines envers des systèmes automatisés ?
Comment préserver l’autonomie de pensée, la créativité humaine, et les savoirs traditionnels face à la montée de l’IA dans les tâches quotidiennes, l’éducation, la santé, ou même les interactions sociales ? Peut-on garder le contrôle sur les technologies que nous utilisons, ou sommes-nous en train de déléguer trop de responsabilités aux machines ? -
2 Replies
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A mon avis : Le développement de l’IA en Afrique peut améliorer la vie quotidienne, mais il risque aussi de créer une dépendance et d’effacer les savoirs traditionnels. Pour préserver l’autonomie, la créativité et la pensée critique, il faut intégrer ces technologies avec prudence, en valorisant les cultures locales et en gardant le contrôle sur leur usage.
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Good morning,
Pour ma part, je crois que l’IA aide à rendre plus simple la résolution des plusieurs tâches qui autre fois étaient complexes à résoudre. L’IA peut constituer une opportunité pour les pays africains encore sous équipés à pouvoir accélérer le processus complexe vers un épanouissement matériel comme les calculettes, les ordinateurs, les téléphones,…en leurs temps. Cependant le revers du médaille est la dépendance, la fragilité de la pensée critique ou de l’inventivité humaine. Mais l’IA c’est comme la manette d’un console de jeux, elle ne peut faire que ce que l’esprit humain commande. L’homme conçoit une idée mais l’IA lui donne les mots, les phrases, les exemples, etc.
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